Les plus belles excursions depuis Hyères-

Les plus belles excursions
depuis Hyères

A l’extrême sud de la Côte d’Azur, Hyères est comme la proue du navire France lancé vers les eaux chaudes de la Méditerranée. La belle aux palmiers appelle irrésistiblement aux ailleurs. Vous vous tenez sur le rebord de notre pays, dans un décor d’oasis tropicale, la mer miroitante joue à changer de couleur et de transparence au fil du jour, comme Salomé dans sa danse des sept voiles, les bateaux filent vers le large, et vous rêvez de monter à bord. De mettre les voiles, d’être baigné de sel et de soleil, de faire corps avec l’azur. Hyères, 43 Nord, 6 Est : la même latitude que Florence. Toute la Méditerranée semble ouvrir ses bras. La presqu’île de Giens, jetée dans les eaux comme une pointe effilée fendant les flots, abrite les deux embarcadères : le port d’Hyères, d’où on part vers Port-Cros et Le Levant, et la mystérieuse Tour Fondue, porte de Porquerolles. Il est temps de partir vers les lointains. Voici le guide des plus belles excursions en bateau depuis Hyères.

 

 

L’excursion incontournable : une journée à Port-Cros, Porquerolles ou Le Levant

Les Îles d’Or. Le monde entier accourt à Hyères pour admirer cet archipel découvert autrefois par les Grecs, qui les nommèrent « Stoechades », les îles alignées. Peut-être ont-ils ramené de leurs eaux lointaines un peu de poudre de mythe, l’écho d’une naïade cachée dans les criques ou d’un Dieu égaré sur un monde qui l’a oublié – les îles d’Or m’évoquent une Grèce mythique, sublime et sauvage. Ce sont des paradis méditerranéens rares, où le temps semble suspendu, et la Côte d’Azur fidèle à nos rêves : éblouissante, comme une île vue en songe. Une légende raconte que ce sont les filles du prince Olbianus, changées en pierre afin d’échapper au bateau pirate qui menaçait de les emporter. Les belles solitaires laissent les flots préserver leur beauté jalouse…
Ne quittez pas la Côte d’Azur sans avoir visité l’une des îles d’Or, Porquerolles, Port-Cros ou Le Levant. Ou deux, ou toutes. Mais laquelle choisir si le temps manque ? Voici un tour d’horizon rapide – j’ai consacré un article à chacune d’elles.

Porquerolles

Porquerolles est la plus grande et la plus touristique des trois sœurs. Toute proche d’Hyères, elle est accessible en une demi-heure depuis l’embarcadère de la Tour Fondue. Elle est parfaite pour les amoureux des plages de rêve : la plage d’Argent et la plage Notre-Dame, qui se disputent le titre de plus belle plage de France, sont inoubliables. Plus plate, plus aménagée que les autres, elle est parfaite pour les familles. Les hébergements et restaurants y sont nombreux. L’idéal pour moi est de découvrir Porquerolles en mai-juin ou en septembre-octobre… voire au cœur de l’hiver. Je n’ai jamais vu Porquerolles aussi belle, aussi radieuse que sous un soleil de février, convaincue d’avoir l’île à moi tout seule.

En pratique : Accès en bateau depuis la Tour Fondue, 19,50 euros (aller-retour).  Il faut savoir que Porquerolles est prise d’assaut en été, et qu’il faut impérativement prendre le ferry le plus tôt possible (avant 9h) pour trouver une place de parking à la Tour fondue. Autour de onze heures, l’embarcadère est totalement saturé. L’été, je vous conseille de venir très tôt et de dormir à Porquerolles, afin de savourer le calme du matin et du soir.

Voir l’article sur Porquerolles

Port-Cros

Port-Cros est la plus sauvage, la plus pure des trois. Je l’avoue : j’aime toutes les îles d’or, mais c’est Port-Cros qui a conquis mon cœur. Escarpée, farouche, c’est une île où on peut randonner des heures sans croiser qui que ce soit, même en plein mois d’août. La route des crêtes, au sud de l’île, offre les plus belles visions méditerranéennes que je connaisse, un paysage de paradis primitif, où l’œil défaille devant tant de beauté abrupte. La Plage du sud est un aquarium à ciel et mer ouverts, où les poissons curieux viennent frôler le baigneur ébloui. C’est une île réservée aux bons marcheurs, et aux Robinsons des temps modernes.

 

 

 

 

 

En pratique : On accède à Port-Cros depuis le port d’Hyères. La traversée dure 1h30 et coûte 28,10 euros (aller-retour).
Voir l’article sur Port-Cros

Le Levant

Le Levant est la plus exotique et originale des îles d’or. C’est un lieu hors du monde, où on se croirait revenu au temps de la Genèse : sur cette île naturiste, tout le monde vit nu, au plus près de la mer et du soleil. L’utopie faite plage, voilà Le Levant, où des tikis sculptés dans des palmiers évoquent la Polynésie, où des artistes, hippies et amoureux de la nature cherchent à créer un monde à part. C’est l’île idéale pour ceux qui recherchent une expérience hors-normes, un dépaysement total. Une de mes plus jolies découvertes de cet été.

En pratique : On accède au Levant depuis le port d’Hyères. La traversée dure 1h30 et coûte 28,10 euros (aller-retour)
Voir l’article sur Le Levant

 Toutes les infos (horaires, tarifs, etc) sur les traversées maritimes vers les îles d’or sur le site de l’office de tourisme d’Hyères.

A la rencontre des dauphins
avec Espace Mer

C’était un rêve d’enfant : observer les dauphins en Méditerranée.
Peut-être avez-vous lu quelque mythe grec qui raconte comment les marins voués à la noyade furent changés en dauphins par Poséidon compatissant, les chargeant de porter à leur tour secours aux hommes.
Peut-être connaissez-vous l’histoire du poète grec Arion, précipité dans les eaux par des pirates après entonné son chant du cygne, et sauvé par un dauphin charmé par le son de sa voix mélodieuse. Le dauphin d’Arion s’ébat aujourd’hui dans les eaux noires sidérales : il est devenu une constellation.
Peut-être savez-vous qu’Apollon, le plus beau des dieux, se changeait en dauphin pour parcourir les côtes grecques. Le dauphin était une créature divine, que nul ne pouvait chasser sans attirer sur soi le courroux céleste, un frère des hommes dans les eaux vives. La fascination pour ces animaux intelligents et expressifs traverse toute l’histoire de la Méditerranée, et tous les peuples qui habitent ses rivages clairs l’ont vénéré. Partir à leur rencontre, c’était plonger dans le mythe. Et Hyères est l’endroit pour le faire.
Les îles d’or et le parc national de Port-Cros forment la pointe occidentale du Sanctuaire Pelagos, un espace maritime qui s’étend jusqu’en Sardaigne et qui fait l’objet d’un accord entre l’Italie, Monaco et la France pour la protection des mammifères marins qui le fréquentent. A l’approche de l’été, on voit soudain des souffles d’écume et des ailerons immenses jaillir au large d’Hyères. De nombreuses espèces de cétacés viennent se régaler du plancton qui abonde dans les canyons abyssaux, notamment les grands dauphins, dauphins bleus et blancs, ziphius et rorquals communs. Ici la Méditerranée se creuse, les courants froids qui remontent des failles profondes dans le plancher marin se heurtent aux courants chauds et provoquent une fabuleuse production de plancton – les dauphins et les baleines accourent pour profiter du festin. C’est une zone privilégiée, un espace de rencontre entre les hommes et leurs frères marins.

Avec Espace Mer, je pars pour quatre heures au large, très loin de la côte, et nous sondons les grandes étendues pélagiques à la recherche d’un indice, un souffle, un tronc, une masse noire, un saut, un aileron… La capitaine du navire, Béa, est une passionnée, tout comme sa fille adolescente, Alice. Toutes deux nous racontent tout ce qu’elles savent sur les fascinantes créatures du monde sous la surface, nous parlent des poissons pélagiques, des tortues, des dauphins, globicéphales, rorquals et cachalots de Méditerranée. Durant quatre heures, nous serons seuls au milieu de l’eau, au seuil du monde d’en dessous.

Soudain une famille de dauphins jaillit au creux d’une vague, et nous les distinguons par transparence pendant une seconde, quatre corps fuselés couleur gris mer, lovés dans le tube de la vague comme les chevaux du char de Poséidon. La vision est prodigieuse. Ils ne s’occupent pas de nous, occupés à chasser un banc de poisson, mais nous parviendrons à les croiser encore, tout près, à deux pas du bateau.

Plus tard, une baleine projette un souffle d’écume puissant avant de replonger dans les profondeurs. Un poisson lune, énorme créature ronde qu’on rencontre jusque dans les eaux de Polynésie, clapote à la surface, et ressemble à un requin facétieux. Alice est déçue : nous avons vu moins de cétacés qu’à l’accoutumée. Elle me montre les fabuleuses photos que recèlent son appareil, pour que je devine tout ce que nous n’avons pas vu – sauts de dauphins, ballets, jeux fabuleux. Le whale watching est toujours incertain. Mais je repars comblée par ces instants de grâce.

Carnet pratique : Observation des cétacés avec Espace Mer, 95 euros par personne, réductions pour les familles et les enfants de moins de douze ans. Quatre heures de sortie environ. Renseignements et réservations au 0494589494. Départ de la Tour Fondue. Il est éventuellement possible de se garer au petit parking d’Espace Mer si les parkings de la Tour Fondue sont saturés, en confiant les clefs de son véhicule à l’accueil, car l’espace est limité. Espace Mer propose également des sorties plongée (libre ou avec bouteilles), des randonnées palmées, un service de bateau taxi vers les îles d’or, et d’autres choses encore.
Bon à savoir : faites attention si vous avez le mal de mer, n’hésitez pas à prendre des cachets. Le fait de s’arrêter pour observer les cétacés et d’être donc immobile en mer quelques minutes peut rendre malade les personnes sensibles.
Bon à savoir *2 : comme toujours avec le whale watching, on ne peut vous garantir à 100% que vous verrez des animaux marins. La mer est vaste et les cétacés sont libres… Néanmoins, le taux de réussite est très élevé.

Porquerolles autrement :
le tour de l’île des pirates

Peut-être connaissez-vous Porquerolles depuis la terre, peut-être avez-vous arpenté ses plages et ses allées de pins parasols, comme je l’ai fait l’hiver dernier. Mais l’île est vaste et toutes les zones ne sont pas accessibles – peut-être avez-vous été frustré de ne pas pouvoir accéder au cap des Mèdes, ou à la côte sauvage. C’est alors qu’il faut embarquer pour un tour de Porquerolles, proposé par TVM depuis cet été.

C’est David qui raconte, un marin né en Bretagne et tombé amoureux de la Côte d’Azur, qui ressemble à un personnage de roman, avec sa barbe rousse, ses bras couverts de tatouages et sa voix de conteur.

Alors que la lumière descend et que le crépuscule enflamme la côte, Porquerolles révèle sa face légendaire et indomptée. Car Porquerolles a depuis toujours été une île de pirates, Barbaresques et brigands échappés du bagne de Toulon ou des galères croisant devant la côte, ayant rejoint à la nage ce refuge épineux. Les pirates ont creusé des grottes au trésor dans les parois schisteuses, des galeries dont l’ouverture obscure se niche au creux des rochers, et ils ont semé mille légendes au goût de sang.

David raconte l’histoire de la terrible bataille de 1755, qui a vu le roi reprendre le contrôle de l’île aux pirates, après quatre jours de siège et de combats terribles. Porquerolles est tombée… mais les pirates sont restés. Ils sont devenus paysans, vignerons, charpentiers. Les ancêtres des habitants sont ces hommes qui ne craignaient ni les vagues, ni la mort. Porquerolles garde l’empreinte de ses fantômes.

Et mille autres légendes fourmillent. Des épaves fantastiques jonchent les fonds, on dit qu’elles recèlent des trésors. La Pointe Sarranier évoque, par son étymologie, « sereno », les sirènes en provençal. Et que dire des formes étranges des rochers qui rappellent d’autres créatures surnaturelles ? La pointe de la Lycastre commémore la légende qui entoure l’animal du même nom, une bête terrible, hybride et cruelle, qu’un chevalier revenant de Terre sainte aurait défaite. A la calanque de l’Indienne, une roche découpée évoque le visage et la coiffe d’une femme née sur des rivages lointaines – une Amérindienne, ou une sphinge égyptienne.

Au cap des Mèdes, la roche est déchiquetée, percée de toutes parts par les canons de La Londe les Maures qui, des décennies durant, se sont entraînés à viser Porquerolles. Une batterie aux allures de château fort se dresse au-dessus du Cap, enchâssé dans les roches vertigineuses. C’est une des plus belles choses que j’ai vues à Hyères : cette pointe sublime, digne d’un roman d’aventures, ces rochers malmenés et solennels, ce château sur les hauteurs qui excite l’imagination.

 

Au fil de la promenade, les criques secrètes et les forts majestueux – l’Alycastre, le Langoustier, Saint Agathe, le Lequin, la Repentance – scandent l’histoire tumultueuse de Porquerolles se déroule sous nos yeux, et quand le soleil se couche, la légende semble s’inscrire dans le ciel.

Carnet pratique : Tour de Porquerolles, TVM. Mardi, mercredi, jeudi, dimanche à 17h. 30 euros par personne (gratuit pour les enfants de moins de quatre ans), sortie d’1h30. L’été uniquement (jusqu’à fin août). Départ depuis la Tour fondue. Réservations sur le site de l’office du tourisme http://www.hyeres-tourisme.com/preparer-votre-venue/loisirs/nautisme/960785-tvm-tour-de-porquerolles

Bon à savoir : David propose également une sortie de quarante-cinq minutes en semi-submersible avec des parois de verre, afin d’observer les fonds marins sans se mouiller. Le mauvais temps m’a empêché d’y participer, mais n’hésitez pas à contacter TVM pour en savoir plus.

Parfum d’exclusif et chapelet de paradis avec les 3 îles : une journée de rêve

Une journée complète en mer et la découverte de sites exclusifs ? J’ai eu un vrai coup de cœur pour cette excursion proposée par Les 3 îles, qui m’a donné une impression de luxe et d’inédit, comme si j’étais une VIP échappée d’un yacht pour découvrir la Côte d’Azur version princesse.

Sur un bateau semi-rigide, qui peut accueillir une douzaine de personnes environ, nous partons du port d’Hyères et nous dirigeons tout d’abord vers les plages époustouflantes de La Londe Les Maures et Bormes Les Mimosas. Les vingt kilomètres qui séparent la colline de l’Argentière du fort de Brégançon sont une des plus belles portions de littoral que je connaisse. Je vous avais parlé dans un autre article de la sublime plage de l’Estagnol et du sentier du littoral, de ces eaux multicolores, qu’on peut qualifier sans exagération de turquoise ou d’émeraude, selon la façon dont le soleil les enjôle, des fonds transparents. Je découvre soudain que je n’avais pas vu le plus beau, et que sur cette « route des vins » qui égrène six grands domaines, j’avais ignoré des plages dignes de figurer tout en haut de mon panthéon des merveilles. Beaucoup d’entre elles sont inaccessibles en voiture, et se conquièrent par une randonnée le long du sentier du littoral… ou par la mer.

 

 

Mon cœur s’envole pour les plages du Petit Jardin et du Grand Jardin, baies rondes d’une beauté rare, claires comme une piscine de château. Puis viennent les petites plages de la Vignasse et de Cabaçon, et la maison de Monsieur Bic, l’inventeur du célèbre stylo, puis nous abordons par la mer le sublime Fort de Brégançon, repaire de brigands devenu résidence présidentielle. C’est la première fois que j’ai une telle vision de ce lieu magnifique, et l’instant est rare. Derrière le fort se déploient encore quelques plages secrètes, celles du Luxembourg et de la Reine Jeanne, où se dresse le manoir du duché du Luxembourg, et sur qui des gardes veillent nuit et jour. C’est une virée au pays des couronnes, et à mes yeux aucun joyau n’a l’éclat de la Méditerranée sous son plus beau jour.

 

 

 

Nous allons déjeuner à Port-Cros, mon île chérie (voir plus haut les photos de Port-Cros), et repartons faire quelque chose d’unique : une randonnée palmée avec masque et tubas face à l’îlot de Bagaud, dans la réserve intégrale du parc national.

A vrai dire, j’ignorais même qu’il soit permis de venir ici. Mais la règle est simple : nous avons l’interdiction formelle de mettre pied à terre (ou sur un rocher), de toucher quoi que ce soit, ou bien sûr de prélever quelque chose. Mais nous pouvons, chaussés de palmes, évoluer à la surface des eaux et admirer la biodiversité fabuleuse de cet îlot intact, où toute pêche est prohibée, et où les fonds marins se déploient dans leur splendeur originelle. Algues rouges, mérous, bancs de poissons argentés, anémones et raies nagent sous mes pieds.

Ici intervient une péripétie tragique : après toute une série de photos fabuleuses, ma caméra sous-marine, Kodak PixPro Watersports, que je ne vous recommande PAS, prend l’eau et rend l’âme. Je ne me remets pas de ce drame. Je veux refaire cette sortie. En attendant, vous pouvez découvrir la faune et la flore sous-marine ici, sur le site du parc national. 

 

La journée s’achève autour de Porquerolles, dont nous longeons la côte sauvage jusqu’au Cap des Mèdes – comme nous l’avions fait lors du tour de Porquerolles, précedemment évoqué. Je retrouve avec plaisir ces paysages de toute beauté, et totalement inaccessibles à pied, puisque situés en zone militaire. Un dernier arrêt nous conduit sur la plus grande plage de Porquerolles, Notre-Dame, où je retrouve pour la dernière fois la joie de me baigner dans une eau transparente comme le verre. Je rentre absolument enchantée. Cela restera un de mes plus beaux souvenirs.

 

 

 

Carnet pratique : Journée complète en mer, de 9h à 17h30 environ, au départ du Port d’Hyères (regardez ici http://les3iles.com/plan-acces le plan d’accès afin de situer leur embarcadère). Tarifs : réduction en passant par l’office du tourisme de Hyères, 80 pour un adulte, 45 pour un enfant (contre 90 et 47 sinon). Pour le déjeuner, prévoir un pique-nique, ou laissez l’équipe réserver pour vous une table dans un joli restaurant sur le port.

Bon à savoir : pour les enfants qui ont du mal à plonger avec masque et tuba, l’équipe met à disposition un zayak, planche très stable et munie d’un hublot, qui leur permet de découvrir les fonds en toute sécurité. C’est une exclusivité des 3 îles.

Bon à savoir *2 : c’est une journée merveilleuse, un rêve, mais je la déconseille à une personne extrêmement sensible au soleil, car il n’y a pas d’ombre sur le petit bateau et la réverbération est forte. Prévoyez une chemise à manches longues, de l’écran total, un chapeau et des lunettes.

Précision importante concernant les excursions depuis Hyères : Ne confondez pas les deux embarcadères, vérifiez toujours bien si vos excursions partent du port d’Hyères ou de la Tour fondue. Sachez qu’il est plus difficile de se garer à la Tour fondue en période estivale – prévoyez vos excursions tôt le matin ou en fin d’après midi. Sachez qu’il est plus difficile de se garer au port d’Hyères le dimanche, jour de marché, prévoyez une grosse marge – les autres jours, le parking de l’hippodrome est à votre disposition.

Un grand merci aux prestataires, TVM, Espace Mer et Les 3 îles, pour leur accueil chaleureux. Plus d’infos sur tout ce qu’on peut faire à Hyères : page dédiée aux excursions sur le site de l’office du tourisme. Guide des excursions depuis Hyères

Dans un prochain article, je vous parlerai de la presqu’île de Giens et de tout ce qu’on peut y faire, kayak à la découverte des grottes, planche à voile, kite surf, d’un restaurant unique et d’un port ravissant. Abonnez-vous à la newsletter pour suivre tout cela !

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