Les plus belles cascades d’Islande-
Les plus belles cascades d’Islande
S’il est un territoire qui mérite d’être nommé « pays des cascades », c’est incontestablement l’Islande. Sur l’île des sagas et des légendes, posée en lisière du cercle arctique, elles se comptent par milliers. Le combat perpétuel entre les glaces boréales et le feu des volcans crée le décor parfait pour une féerie aquatique sur les reliefs escarpés des montagnes de lave, et leur variété et leur beauté est telle qu’il est impossible de se lasser. Voici un tour d’horizon – non exhaustif ! – des plus belles cascades d’Islande.
J’ai découvert l’Islande à l’âge de onze ans – je vous le raconte ici – et ce fut un enchantement sans pareil. Volcans en ébullition, geysers, glaciers, chevaux aux couleurs innombrables, tout conspirait à marquer à jamais mon imagination. Mais ce qui m’a le plus séduite, ce furent les cascades. J’ai rempli des pages et des pages vantant leur rugissement, leur opiniâtreté à se précipiter dans l’abîme, le spectacle hypnotique du point où l’eau bascule et devient tonnerre. Ce fut le début d’une passion qui ne s’est jamais démentie.
Mon retour en Islande, seize ans plus tard, avait donc des allures de pèlerinage. C’est ici que tout a commencé – c’est un retour à mes premières amours. Mon tour de l’île s’est donc transformé en tournée des cascades.
Carte des plus belles cascades d’Islande
Dettifoss, puissance et furie
Si vous n’avez pas encore succombé à la fascination des cascades, et que vous rêvez d’une entrée en matière tonitruante, Dettifoss vous promet d’assurer le spectacle. Avec un débit incroyable de 200 mètres cube par seconde, elle est la plus puissante des cascades d’Europe. C’est une vision dantesque, une expérience hypnotique que de suivre des yeux l’explosion d’eau blanche qui se réverbère dans tout le canyon noir de la rivière Jökulsa, que les glaciers des hautes terres chargent de sédiments volcaniques. Ce cours d’eau mythique, qui naît dans les tréfonds bleutés du Vatnajökull, court sur plus de deux cent kilomètres dans cette gorge de lave. L’idée me donne le vertige : une éruption d’une ampleur indescriptible a couvert ces paysages d’un océan de magma, puis la glace a fendu le feu, cisaillé la roche fondue, et dessiné ces paysages d’apocalypse. La Jökulsa, fille de cette lutte titanesque, c’est l’Armageddon fait géologie, le Ragnarök en circuit touristique. Et Dettifoss est la plus terrible de ses rejetons. Dettifoss est violente, impitoyable. Personne ne survivrait à sa lame de guillotine, au massacre des rochers stoïques par l’eau déchaînée. Dans la lumière rasante du soir, le fleuve semble se changer en lave, et un déluge de feu entraîne le regard au fond du neuvième cercle des enfers –là où l’horreur se change en beauté.
Dettifoss est située au nord de l’île, sur le circuit qu’on appelle « le cercle de diamant ». On y accède par une piste longue d’une trentaine de kilomètres qui se détache de la route circulaire, et qui est bien indiquée. A proximité, sur la même rivière, vous trouverez deux autres chutes, Selfoss et Hafragilsfoss.
Seljalandfoss et les trésors des sagas
Plus jeune, quand je me plongeais dans les légendes nordiques, j’étais obsédée par le mythe du trésor caché derrière la cascade, là où jaillit l’arc-en-ciel. Rares sont les chutes d’eau qui vous ouvrent leurs chambres secrètes, derrière le rideau blanc. C’est ce qui rend Seljalandfoss irrésistible. Ruban qui tombe au milieu d’une débauche de mousse et de verdure, Seljalandfoss se contourne et se laisse contempler de l’intérieur, réalisant un rêve de petite fille. Ce fut une de mes préférées.
Seljalandfoss est accessible facilement depuis la route circulaire, d’où on la voit apparaître de loin. Si vous continuez un petit peu plus loin sur le sentier qui y mène, vous découvrirez une deuxième cascade, cachée.
Skogafoss, l’élégance faite cascade
L’une des plus célèbres cascades d’Islande, Skogafoss, séduit par sa forme parfaite. Un long rideau blanc uniforme évoque la chevelure d’une créature sylvestre venue se peigner au-dessus des eaux. C’est la cascade de carte postale par excellence, gracieuse et invitant au coup de pinceau.
Skogafoss est située à Skogar, sur la route circulaire. On y accède directement et facilement. Un escalier permet d’accéder à un beau point de vue au-dessus de la cascade. C’est le point de départ du Fimmvörðuháls, le trek le plus célèbre du sud de l’Islande, qui mène jusqu’à Þórsmörk, la « vallée des Dieux ». En remontant le cours de la rivière Skoga, on tombe sur une succession infinie de cascades fabuleuses. Je rêve de retourner en Islande et de faire cette randonnée – vous en trouverez des photos magnifiques ici, sur le blog Randozone. (Surtout qu’eux, ils ont eu du soleil…)
Goðafoss, le crépuscule des dieux
Goðafoss, « la chute des dieux », doit son patronyme wagnérien à un évènement tout aussi digne de figurer dans un opéra romantique. En l’an 999, la guerre entre païens et chrétiens fait rage sur la terre islandaise, et les adorateurs du Dieu unique gagnent du terrain face aux adeptes de Thor, Freya et Odin. Comme chaque été, l’Alþingi, le parlement islandais, se réunit dans les terres du sud, et doit trancher la pomme de discorde. Thorgeir, un chef respecté de tous, lui-même païen, est chargé de déterminer quelle sera la religion de l’Islande. Durant toute une nuit, il médite, caché sous une fourrure de bête. A l’encontre de ses propres convictions, il décide que l’Islande deviendra chrétienne, mais que les païens pourront continuer à vénérer leurs divinités en secret. Thorgeir retrouve sa ferme au nord de l’île, au terme d’un long voyage, se saisit de toutes les statues des dieux, et les précipite dans la cascade. Le sort des Ases est scellé par les eaux bouillonnantes. Rideau.
Il y a seize ans, Goðafoss fut ma première cascade islandaise. Elle reste spéciale à mes yeux.
Goðafoss est située sur la route circulaire, dans le nord, juste avant l’embranchement pour Husavik. Elle est d’accès facile.
Gullfoss, la « chute dorée »
Au palmarès des plus belles cascades d’Islande, Gullfoss se retrouve souvent en haut du podium. Elle doit son nom aux caresses chromatiques que le soleil couchant lui prodigue, aux arcs-en-ciel qui s’élèvent au-dessus de ses escaliers irisés, comme autant de ponts vers le pays magique d’Asgard. Malheureusement, j’ai vu Gullfoss sous une pluie battante, qui éteignait complètement son charme mythologique. (Comme 90% de mes cascades islandaises cette fois-ci, hélas. La proximité du cercle Arctique se paie chèrement.)
Les photos prises par ma mère il y a seize ans, par un jour radieux, me disent que je n’ai pas rêvé.
Kirkjufellsfoss, cascade et volcan télégénique
Si vous avez vu La vie rêvée de Walter Mitty, vous vous souvenez sans doute de la scène où il passe en skate-board devant un volcan islandais à la forme conique parfaite, coiffé d’un nuage facétieux – l’ensemble lui donne un air de dessert alambiqué, sorbet et barbe à papa. C’est le Kirkjufell, un des emblèmes de la péninsule de Snæfellsnes, à l’Ouest de l’île, et il règne sur le beau fjord de Grundarfjörður. De l’autre côté de la route s’élèvent les chutes de Kirkjufellsfoss, qui n’ont en soi rien de particulièrement spectaculaire (au pays des cascades, le niveau est très élevé), mais qui permettent de composer le poster islandais parfait : volcan et cascade.
Kirkjufellsfoss est située en dehors de la route circulaire, sur la péninsule de Snæfellsnes, mais d’accès facile. Avec ses plages de sable noir, ses falaises couvertes d’oiseaux, et son histoire riche en mythes (la colonisation de l’Islande a commencé ici), cette région située à moins de deux heures de Reykjavik mérite d’être découverte.
Svartifoss, la chute noire
Tout au sud de l’Islande, le parc de Skaftafell est la terre des grands désastres. Plusieurs fois au fil de l’histoire torturée de l’île, des éruptions volcaniques monumentales ont causé la fonte éclair des glaciers, et la côte a été submergée par des inondations glaciaires dont nous ne pouvons même pas imaginer l’ampleur. Ce fut un déluge biblique, la montagne toute entière qui s’abat sur la plaine, glace, roches et sables qui déferlent sur des centaines de kilomètres à la ronde, et ravagent toute vie. Autrefois, il y eut ici des plaines, des fermes, de l’herbe verte – maintenant, ce sont des sandar à perte de vue, des étendues de sable glaciaire jusqu’à la mer désertée. Svartifoss est une fille du volcan : elle coule au milieu de colonnes de basalte noir, témoignage saisissant de l’éruption. Une petite randonnée de deux heures environ permet d’y accéder depuis le parking du parc de Skaftafell (situé sur la route circulaire).
C’est une jolie cascade, mais… si vous aimez les orgues de basalte, le grand spectacle cosmique, sachez que Svartifoss a une grande sœur plus sublime, plus fascinante encore : Aldeyjarfoss.
Aldeyjarfoss, celle qui a conquis mon cœur
Je vous ai promis les plus belles cascades d’Islande, me demanderez-vous d’élire une reine ? Alors je placerai la couronne sur la tête écumante d’Aldeyjarfoss. J’ai été sidérée, profondément émue par la beauté extraterrestre de cette cascade désolée, perdue au milieu des hautes terres.
Imaginez quitter la route circulaire au niveau de Goðafoss, et vous engager sur une piste mythique : la Sprengisandur. A l’époque médiévale, la Sprengisandur était la seule route qui traversait l’île du nord au sud, passant au cœur des montagnes. Mais c’était un chemin infiniment périlleux, dont nombre ne revenaient jamais. A perte de vue, l’horizon ne révèle que laves et sables, un paysage d’une désolation sans nom, du magma à perte de vue, ravinés par des crevasses effroyables, et ni arbre, ni herbe, ni rien qui soutienne la vie des hommes et des bêtes. Au cœur du Sprengisandur se creuse le cratère vermillon et bleu du volcan Askja, où les astronautes américains vinrent s’entraîner avant de partir pour la Lune. C’est vous dire ce qu’évoquent ces paysages : le néant absolu. Un infini de roche couleur sang. Dans le nom « Sprengisandur », on lit le mot « sable », mais aussi un vieux verbe qui signifie « faire galoper son cheval jusqu’à la mort ». Perdus au cœur des hautes terres, nombre de guerriers n’en réchappaient pas, et les sagas disent leur complainte.
Aujourd’hui, la Sprengisandur est une piste qui n’ouvre qu’en été, et qui est strictement interdite aux véhicules autres que les 4×4. Nous ne l’avons pas parcourue dans son intégralité (et j’aimerais le faire un jour, aller jusqu’à Askja !), mais nous l’avons prise pour quarante kilomètres jusqu’à Aldeyjarfoss. La vue console mille fois des cahots. Le fleuve Skjálfandafljót s’est frayé un chemin entre les laves, et Aldeyjarfoss révèle la Terre dans toute sa nudité furieuse : l’eau se jette dans un amphithéâtre noir, où les orgues de basalte gigantesques révèlent toutes les ondulations de ce qui fut autrefois une monstrueuse coulée, et quand la cascade les met en mouvement, on jurerait revivre l’éruption, voir sous nos yeux la marée rouge dessiner son chemin ardent. « Spectaculaire », « fascinant » : ce sont des euphémismes. Aldeyjarfoss fut pour moi la plus magique de toutes.
Les cascades du canyon Fjaðrárgljúfur
Puisque nous en sommes aux superlatifs : Fjaðrárgljúfur restera un de mes plus beaux souvenirs d’Islande. A vrai dire, les voyageurs y viennent pour le canyon féerique, et non pour ses cascades – mais à mes yeux, le plus bel endroit de tout Fjaðrárgljúfur, c’est là où les eaux l’habillent de soubresauts. C’est une gorge déchiquetée par les glaces d’antan, et recouverte de mousses, un lieu au charme infini, qui évoque aussitôt elfes, sylves, et autres archers aux oreilles pointues qu’on voit dans le Seigneur des Anneaux. En me tenant au-dessus de la double cascade qui enlace le rocher, j’ai eu l’impression d’être face à la porte des mondes – appelée à entrer dans une réalité où les hommes ont des ailes.
Peu avant d’arriver au village de Kirkjubaerklaustur, en venant du sud, il faut guetter le panneau Fjaðrárgljúfur et suivre ce petit détour de quelques kilomètres.
Les cascades anonymes
Les cartes topographiques n’accordent le privilège du nom qu’à un nombre infime de cascades islandaises. En vérité, elles sont partout, cachées à chaque virage de la route, surgissant à la faveur de la moindre déclivité, aussi omniprésentes que les fées des contes, prêtes à enchanter le visible. En voici deux qui m’ont séduite – le soleil a sans doute joué, et leur anonymat témoigne de la profusion de beauté islandaise, le seul pays qui peut se payer le luxe de ne pas nommer de telles merveilles.
Les cascades que je n’ai pas vues
Malgré mon acharnement à recenser les plus belles cascades d’Islande, j’ai bien dû renoncer à certaines, difficiles d’accès ou trop en dehors de notre itinéraire. Quatre d’entre elles me semblent néanmoins mériter une mention – je laisse à d’autres blogueurs et blogueuses de voyage le soin de vous les faire découvrir !
- Guðufoss par La faute au Graph
- Glymur par Léa Globetrotteuse
- Litlanesfoss et Hengifoss par International Photographer
- Dynjandi par Road Trip Islande
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le 27 juillet, 2016 à 20 h 24 min a dit :
J’adore! Ohlala j’ai trop hâte quand je vois tout ça!!!
le 30 juillet, 2016 à 9 h 57 min a dit :
J’ai vraiment hâte de te lire, Anne-Lise ! tu vas te régaler, je t’envie déjà !
le 30 juillet, 2016 à 9 h 47 min a dit :
Je suis conquise, merci de cette magnifique balade de cascades en cascades
le 30 juillet, 2016 à 9 h 51 min a dit :
Merci beaucoup Chacha ! Pour une aventurière qui aime les grands espaces, l’Islande serait parfaite, je t’y vois bien !
le 1 août, 2016 à 8 h 30 min a dit :
Incroyable collection de cascades 👌. J’adore ces paysages tourmentés ! Quand la rivière rompt sa course dans un saut hallucinant. Je crois que j’aurais eu les mêmes coup de coeur : la cascade que l’on peut pénétrer, et celle qui creuse les orgues basaltiques ! Il me reste plus qu’à suivre tes indications et à aller voir sur place !
le 13 août, 2016 à 5 h 39 min a dit :
Merci beaucoup, Marieke ! Je t’imagine faisant un croquis d’Aldeyjarfoss, je pense qu’une dessinatrice serait folle de bonheur face à ces orgues, ces formes tourmentées dans la lave – tu verras, c’est très impressionnant, on dirait que la nature a été artiste elle même, c’est la plus belle diversité magmatique qu’on puisse imaginer. Tu adoreras l’Islande, j’en suis certaine. Belle journée à toi !
le 16 août, 2016 à 21 h 58 min a dit :
À chaque fois que je rattrape un peu mon retard, tu publies un nouvel article, me laissant encore loin derrière… Mais je vais y arriver, et c’est avec plaisir que je découvre ton premier billet sur mon île coup de coeur.
Je n’ai pas vu la Detifoss, bien que j’en ai beaucoup entendu parler. Je crois que si (ou plutôt quand ;)) je retournais en Islande, elle serait en tête de liste des choses à voir.
Seljalandsfoss fait également partie de mes regrets… Mais j’y reviendrai, je me le promets!
Moi aussi, je rêve de faire le trek au départ de Skogafoss ! On s’organise ça ;p ?
La Godafoss fut ma cascade préférée, pour son histoire, que tu raconte si bien, et pour sa couleur, que tes photos montrent à la perfection.
Bien évidemment, que j’ai vu The Secret Life of Walter Mitty ! C’est ce film qui nous a tant doné envie de partir en Islande, et c’est cette scène de longboard qui nous a convaincus d’ailleurs.
Le canyon dont je ne me risquerais pas à épeler le nom m’avait conquise, et tu le décris incroyablement bien : à la croisée des mondes, du notre et de celui des fées.
Niveau photo :
– la photo de couverture, bien évidemment, juste magnifique. La brume, l’atmosphère, les couleurs…
– “Les sublimes cascades du canyon Fjaðrárgljúfur” : j’ai quasiment la même photo, et je l’adore! Ce canyon <3
– La puissance de Dettifoss : cadrage parfait, gestion de la lumière parfaite, rendu parfait…
– Derrière Seljalandsfoss : classique mais efficace, je ne me lasserai jamais de ce genre de photo.
– Seljalandsfoss aperçue depuis la route 1. : cette photo est l'une de mes préférées. Nous avons emprunté toute la route n°1, et je n'ai aucun souvenir de cette vision…
– Retour en pélerinage : j'adore ton expression, la couleur de tes cheveux, et la composition avec cette perspective parfaite. J'adore.
– Svartifoss : je suis comblé, j'achète, j'épingle, j'encadre. Une photo qui aurait sa place dans les plus belles salles d'expo…
– Paysages désolés du Sprengisandur : j'aime beaucoup cette image, représentation typique de l'Islande pour moi. Les raies de lumière en arrière plan apporte beaucoup de magie au cliché, j'aime ça.
– Lave et écume : toutes les photos de cette cascades sont envoûtantes, mais celle-ci est ma préférée : son cadrage serrée ne fait que renforcer la sensation de puissance, et les détails des orgues de basaltes sont superbes.
– Quelque part dans l’Est : c'est la lumière qui fait toute la beauté de cette photo, et je jurerais la connaître : elle me rappelle la Gufufoss, et toutes les cascades que nous avons aperçues dans cette région de l'est de l'île. Peut-être que la lumière était similaire et que c'est la raison de ce déjà-vu, mais peu importe : ça me plait de croire que moi aussi, j'ai vu cette jolie cascade anonyme.
J'ai partagé ton article avec Vincent, qui l'a lu avec intérêt. Sa réaction ? "ça me donne envie d'y retourner et de rester plus longtemps". Tu as su touché Vincent, il aime tes images, bravo !
Je voulais aussi te féliciter pour les poses longues : j'ai l'impression que la pratique a payé, tes clichés sont superbes, et merveilleusement bien maîtrisés.
Je t'embrasse
le 26 août, 2016 à 12 h 35 min a dit :
Wouah, tes photos de cascades sont magnifiques, et celles de Dettifoss sont magiques, la texture de l’eau et les couleurs donnent une ambiance super mystique, j’adoooooore !!!!! Je n’ai pas encore pu aller visiter le nord de l’Islande (un peu plus difficile de circuler avec la neige 😀 :D), je pense qu’il faudra que je fasse la V3 dans quelques années ! Tout comme toi Gullfoss est loin d’être dans mes cascades préférées, pourtant je l’ai vue sous un soleil de plomb… Mais je l’ai trouvée un peu trop touristique, impressionnante au niveau du bruit mais visuellement, j’étais bien plus émue devant Skogafoss par exemple (bon ok, l’arc-en-ciel a joué, parole de Lykorne…) !
le 26 août, 2016 à 18 h 42 min a dit :
Ah oui, toi tu y es allée en hiver, en vraie amoureuse des glaces ! Ca doit être sublime aussi, les aurores boréales, la neige partout, les cascades gelées… une expérience à vivre.
Ah les arcs en ciel, ça change TOUT, ça y est tu escalade l’arc en ciel et tu atteins le Valhalla 😉
le 10 septembre, 2016 à 14 h 29 min a dit :
Tu es conquise par les piscines naturelles de Corse et moi par les cascades monumentales d’Islande, comme ça on est quitte 😀
le 12 septembre, 2016 à 11 h 12 min a dit :
Merci beaucoup pour ton passage ici !
le 21 février, 2017 à 14 h 45 min a dit :
[…] cascades m’enchantent. Si vous avez lu mes articles sur l’Islande, vous savez combien je les aime, et celles-ci ont tout pour entrer à mon pathéon. 110m de haut, plusieurs rubans qui se […]
le 29 mars, 2017 à 20 h 43 min a dit :
[…] rêve de continuer ma quête des plus belles cascades. Je rêve d’îles perdues, dans l’océan Indien ou aux Caraïbes. Je rêve des […]
le 30 mai, 2017 à 10 h 47 min a dit :
merci de nous faire découvrir ce très beau pays qu’est l’Islande et surtout ces chutes d’eau impressionnantes à ne pas manquer
le 16 juillet, 2017 à 15 h 52 min a dit :
[…] est incontestablement le pays des cascades, et je leur avais d’ailleurs consacré un article : les plus belles cascades d’Islande. Pour la cascadomaniaque que je suis, c’est une grande déception de ne pas avoir vu l’île […]
le 25 septembre, 2017 à 17 h 03 min a dit :
[…] le fond du canyon où jaillit la chute), et pourtant cette chute m’a rappelé les plus belles cascades d’Islande et d’Ecosse. Tout au sud du parc du Vercors, tout au nord de la Drôme, elle se précipite au […]
le 25 décembre, 2017 à 20 h 36 min a dit :
[…] la lagune. C’est une route sublime et facile (un 4×4 n’est pas nécessaire), jonchée de cascades spectaculaires et passant par la belle plage de sable noir de Vik – en ligne directe depuis […]
le 6 avril, 2019 à 19 h 48 min a dit :
[…] d’inspiration ou ne savez pas quelles cascades voir en priorité, je vous invite à lire cet article d’Itinera Magica, qui regroupe les plus belles du […]
le 12 décembre, 2019 à 21 h 22 min a dit :
[…] de cascades depuis toujours, j’ai toujours adoré la cascade blanche à Sainte Eulalie et son rideau nuptial, […]
le 23 mars, 2023 à 17 h 14 min a dit :
[…] La plus haute cascade de la Drôme : la merveilleuse chute de la Druise, aux airs de cascade d’Islande avec son long voile jaillissant du rocher. La rivière Gervanne se précipite depuis ce tremplin […]